Et si la forme de nos conversations déterminait la qualité de nos décisions ?

Dans nos organisations, nous passons des heures en réunion. Pourtant, combien de fois repartons-nous avec le sentiment que l’essentiel n’a pas été dit ? Que les vraies questions sont restées sous la table ?

𝗟𝗲 𝗰𝗲𝗿𝗰𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗮𝗿𝗼𝗹𝗲 𝗼𝗳𝗳𝗿𝗲 𝘂𝗻𝗲 𝗮𝗹𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲 𝗿𝗮𝗱𝗶𝗰𝗮𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗶𝗳𝗳é𝗿𝗲𝗻𝘁𝗲.

Ce n’est pas qu’une disposition spatiale. C’est une posture. Elle n’est pas nouvelle, elle est ancestrale, c’est celle qu’utilisaient naturellement nos ancêtres, celle que nous prenons naturellement dans l’enfance lorsque nous ne sommes pas encore biaisés par les conventions.

Assis en cercle, sans table, nous nous tournons tous vers le centre — vers ce qui nous relie vraiment. Pas vers un chef, pas vers un écran, mais vers le sujet qui nous rassemble et l’humanité de chacun.

Dans ce format :

• La parole circule librement, sans hiérarchie paralysante
• Chaque voix compte autant que les autres
• On parle avec son cœur autant qu’avec sa tête
• On ose dire ce qui est vrai, même quand c’est inconfortable
• On accueille la vulnérabilité comme une force, pas comme une faiblesse

❓ Pourquoi c’est urgent aujourd’hui ?

👉 Les défis que nous affrontons sont d’une complexité sans précédent. Ils ne peuvent pas être résolus par une seule personne, un seul département, une seule vision du monde.

👉 Nous avons besoin de l’intelligence collective dans toute sa richesse. Et cela exige un dialogue où toutes les perspectives se rencontrent vraiment, où personne ne reste spectateur.

Le cercle n’est pas une méthode miracle. C’est un acte de courage : celui de reconnaître que nous avons besoin les uns des autres pour voir plus clair et aller plus loin.

Et vous, seriez-vous prêt·e à expérimenter le cercle dans votre organisation ?

Qu’est-ce qui vous y pousserait ? Qu’est-ce qui vous retient ?

𝘗𝘩𝘰𝘵𝘰 𝘥𝘦 𝘛𝘪𝘮𝘢 𝘔𝘪𝘳𝘰𝘴𝘩𝘯𝘪𝘤𝘩𝘦𝘯𝘬𝘰